L’arrivée d’Elon Musk sur Twitter a entraîné un grand nombre de changements, dont le changement du nom de la plateforme, désormais
Au fil des mois, l’importance d’être prêt à payer pour l’abonnement Blue apparaît.
Le prix de l’abonnement est pratiquement le même que celui de nombreuses plateformes de streaming vidéo comme Disney+, Netflix ou HBO, donc, à moins qu’il ne s’agisse d’un outil de travail, tout le monde n’est pas prêt à payer. Pour que les utilisateurs de cette plateforme changent de mentalité et soient encouragés à contracter Blue, X étudie la possibilité de lancer deux nouveaux plans d’abonnement, plans qui s’ajouteraient à l’actuel, selon un filtration.
Plans d’abonnement X (Twitter)
Il forfait de base, l’abonnement le moins cher serait le moyen le plus économique d’accéder aux fonctions réservées aux abonnés et, en outre, il afficherait moins de publicité que celle dont bénéficient les utilisateurs non payants. Le plan Standard C’est pratiquement le même que ce que l’on peut trouver aujourd’hui, un plan qui permet d’accéder à toutes les fonctions et affiche la moitié de la publicité.
Plan Prime. X étudie également la possibilité d’introduire un abonnement payant, le plus cher de tous et qui, en plus de toutes les fonctions exclusives pour les abonnés, supprimerait toute publicité.
Comme il s’agit d’informations obtenues à partir du code back-end de Twitter, le les prix ne sont pas disponibles. Le prix actuel de l’abonnement X Blue est de 9,68 euros, si l’on le contracte depuis un navigateur web sans passer par l’App Store d’Apple ou le Google Play Store.
A partir de ce prix, qui correspondrait à l’abonnement Standard, le prix que pourrait avoir la modalité Basic pourrait être de moitié, un peu moins de 5 euros par mois. Tandis que la version Premium, si Elon Musk veut suivre le même chemin que Facebook et Instagram, qui ont également proposé ce type d’abonnement, pourrait atteindre 15 euros par mois.
La raison pour laquelle les réseaux sociaux envisagent de mettre en place un abonnement pour utiliser leur plateforme est due à la LGPD européenne. Cette loi oblige les réseaux sociaux et autres services à demander aux utilisateurs s’ils souhaitent qu’ils collectent leurs données personnelles à des fins publicitaires, ce que les utilisateurs refusent de plus en plus de faire, ce qui représente un problème pour les plateformes publicitaires respectives puisque Ils ne peuvent pas concentrer leurs campagnes publicitaires à certains utilisateurs susceptibles d’être intéressés par la publicité.
Au final, ces plateformes n’offriront que deux options aux utilisateurs : soit payer un abonnement pour qu’aucune donnée ne soit collectée, soit accepter qu’ils puissent suivre vos goûts pour cibler la publicité et la rendre plus efficace. De cette façon, ils continueront à se conformer à la LGPD puisqu’elle n’envisage pas cette option.